Sally Gabori

Triennale Milano
2023

ClientFondation Cartier pour l’art contemporain

LieuMilan, Italie

Date16/02/2023 – 14/05/2023

Surface1385m2

MissionScénographie

Chef de projetCarole Pfendler, Guillaume Humbert

CommissairesJuliette Lecorne, Thomas Delamarre

GraphismeNORM

Direction exécutiveGrazia Quaroni

CoordinateurAlessia Pascarella, Monica Paganelli

ProductionAltofragile, D&D

Crédits PhotoAndrea Rossetti Archive, Gianluca Di Ioia

Co-présenté par la Fondation Cartier pour l’art contemporain et Triennale Milano au sein du Palazzo dell’Arte de Milan, le Studio Adrien Gardère a l’honneur de scénographier la première rétrospective italienne de l’artiste aborigène Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori.

 

La scénographie tire parti des caractéristiques de l’espace pour générer des rythmes et des points de vue, dévoilant un paysage pictural où les toiles monumentales de l’artiste rayonnent et résonnent avec les volumes architecturaux.

 

En développant deux ambiances harmonieuses et complémentaires qui s’illustrent par de grandes hauteurs sous-plafond mises en valeur et deux allées bleutées et plus intimes, l’exposition est une invitation à la déambulation et à la contemplation. Dans cette même volonté, les assises ont été pensées comme de véritables éléments scénographiques qui font corps avec l’espace et soulignent les œuvres.

 

La scénographie se distingue ainsi, tout en s’effaçant discrètement pour placer en premier plan Sally Gabori et affirmer son statut d’artiste peintre contemporaine.

Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori
Sally Gabori

ClientFondation Cartier pour l’art contemporain

LieuMilan, Italie

Date16/02/2023 – 14/05/2023

Surface1385m2

MissionScénographie

Chef de projetCarole Pfendler, Guillaume Humbert

CommissairesJuliette Lecorne, Thomas Delamarre

GraphismeNORM

Direction exécutiveGrazia Quaroni

CoordinateurAlessia Pascarella, Monica Paganelli

ProductionAltofragile, D&D

Crédits PhotoAndrea Rossetti Archive, Gianluca Di Ioia